Si j’avais su – Léonie en 7 tableaux

Cet article fait parti d’un ensemble d’articles en lien avec mon roman Si j’avais su.

Le roman est disponible en versions numérique et brochée sur Amazon. 

Tableau 1 : 

Léonie, c’est d’abord une créatrice passionnée.

Peintre le jour et surtout la nuit. 

Elle puise son inspiration dans son quotidien, ses émotions fortes, ses idées folles.

Léonie, c’est une explosion de couleurs qui partent dans tous les sens. 

Léonie c’est la joie, l’enthousiasme, l’optimisme.

Tableau 2 :

Léonie, c’est l’espoir de voir son rêve se concrétiser et serrer enfin un bébé au creux de ses bras. 

Elle l’attend, elle l’imagine, elle l’entend parfois murmurer au creux de son oreille. Elle caresse de son pinceau la peau imaginaire, fond d’amour devant le sourire rêveur de l’enfant qui s’endort.

Tableau 3 :

Léonie, c’est le fouillis d’un monde riche et créatif. Un monde qu’elle n’hésite pas à partager avec ses amis, même ceux qui ne comprennent rien à l’art. Elle rit de leurs remarques déplacées parfois, explique patiemment ou sait se taire quand il le faut.

Tableau 4 :

Léonie, c’est la douceur. La capacité d’une écoute totale, le regard bienveillant. Celle qui sait mettre les bons mots pour répondre à la douleur de l’autre, celle dont le silence est plein de compassion et d’amour.

Tableau 5 :

Léonie, c’est la bêta-lectrice privilégiée de Juliette. Celle qui encourage à écrire la suite, vibre des émotions fortes qu’elle trouve entre les lignes, comprend les messages cachés au sein des manuscrits. Celle aussi qui sait dire ce qu’il faut améliorer, avec douceur et respect.

Tableau 6 : 

Léonie, c’est les pauses thé-discussions passionnées. Parfois des sujets philosophiques, d’autres fois des bêtises, d’autres encore des discours à propos de petits riens de la vie. 

Un sourire aux lèvres ou une larme à l’œil, qu’importe. Ce qui compte c’est l’authenticité et la qualité d’un moment partagé.

Tableau 7 :

Léonie, c’est l’âme soeur de Juliette. La confidente. Celle qui va entourer de ses bras lorsque c’est nécessaire, trouver l’étincelle pour ramener un peu de lumière dans le noir. Aider à porter le fardeau de la souffrance.