Si j’avais su – Un objet clé pour l’histoire

Cet article fait parti d’un ensemble d’articles en lien avec mon roman Si j’avais su.

Le roman est disponible en versions numérique et brochée sur Amazon. 

Dans mes romans, j’aime utiliser des éléments concrets tirés de ma réalité. Alors bien entendu, je personnifie, je détourne, je retranche, j’ajoute. Mais ma règle de base est de puiser dans tout ce qui m’habite pour construire mes univers. 

Alors, je ne pouvais pas faire autrement que d’insérer un carnet dans l’histoire de Juliette.

J’adore les carnets. 

J’en ai des dizaines remplis de petites lignes colorées. 

Certains pour griffonner des idées d’histoires, d’autres pour transformer les idées en plan ou pour recueillir les brainstormings indispensables pour creuser mes réflexions. D’autres encore accueillent mes états d’âme au fil des années. Ils sont un peu magiques, car dire les choses, c’est libérateur. Car écrire les idées, c’est le premier pas pour les transformer en histoire.

Un carnet tombe dans les mains de Juliette.

Elle ne le choisit pas. Elle ne l’attend pas. 

C’est symbolique pour l’histoire. C’est également symbolique par rapport à ma vie réelle. J’ai toujours préféré investir les carnets qu’on m’offre plutôt que de les choisir moi. Je peux ainsi me laisser surprendre, utiliser le cadre offert par les pages pour exprimer pleinement ma créativité.

Les pages du carnet de Juliette sont blanches. Pour qu’il y ait une liberté totale d’écriture : des lettres et des lignes bien ordonnées ou un désordre indescriptible.

Pour refléter l’explosion d’émotions qui leur seront confiées.

Le carnet de Juliette paraît ordinaire, mais il ne l’est pas. Il contient une histoire. Celle d’un futur possible. 

Il contient un chemin intérieur vers la découverte de ce que signifie “souffrir”, vers la réalisation de ce que signifie “aimer”.

Est-ce Juliette qui écrit l’histoire ou l’histoire qui s’écrit elle-même et l’emporte ? 

Pour le savoir, rendez-vous dans Si j’avais su. 😉