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Cet article fait parti d’un ensemble d’articles en lien avec mon roman Si j’avais su.

Le roman est disponible en versions numérique et brochée sur Amazon. 

Écrire une histoire, c’est toujours raconter une évolution.

Vers le meilleur.

Vers le pire.

L’histoire de Juliette s’ancre dans le temps. Elle a commencé une trentaine d’années avant les premières pages du roman, de manière assez tranquille. Alors oui, il y a eu quelques tempêtes passagères, des apnées courtes, des déserts un peu plus longs. Nul n’échappe aux morsures de la vie.

Mais, au moment où commence mon roman, on peut dire que Juliette est heureuse, qu’elle mène une vie tranquille entourée d’amour (celui de son mari et de ses filles), qu’elle a assez de projets pour remplir les années qui s’ouvrent devant elle.

Juliette est au seuil d’une nouvelle étape dans sa vie… mais pas celle qu’elle imagine.

Là où elle voit des portes ouvertes vers un horizon fabuleux, elle va trouver des murs noirs.

Là où elle espère la liberté, elle va trouver la prison.

Là où elle ne se trompe pas, c’est qu’elle va devoir créer pour offrir le meilleur d’elle-même, relever des défis insoupçonnés, aller toucher du doigt les profondeurs de son être (y découvrir des ténèbres, mais aussi de la lumière).

Juliette va évoluer, Juliette va changer. 

Au fil des jours, des chutes et des coups.

Quand on dit “handicap”, à quoi penses-tu ?

Avant de rencontrer Elvina, Juliette voyait dans ce mot l’enfant en fauteuil roulant croisé dans une école, le trisomique au visage si caractéristique aperçu dans la rue, la petite fille dont elle avait lu l’histoire et qui perdait chacun de ses sens jusqu’à la mort.

Des histoires terribles qui griffaient ponctuellement son coeur avant de se diluer dans les éclats de rire de ses filles.

Des éléments déclencheurs qu’elle maniait avec brio au sein de ses romans, mais qu’elle laissait dans ses mondes imaginaires.

Au fil de mon roman, Juliette va découvrir que le handicap a de multiples visages, qu’il peut se dissimuler derrière des traits ordinaires. Qu’il n’est pas seulement physique ou intellectuel.

Le handicap auquel va être confrontée Juliette la plongera dans une torture quotidienne de laquelle rien ne peut la sauver. Ce ne sera pas le sien. Et pourtant, elle ne vivra plus jamais sans.

Il faut toujours un grand méchant dans une histoire.

Le monstre auquel fera face Juliette sera le handicap de sa fille. Attention, il n’est pas prêt à se laisser dompter.

Pour retrouver toutes les facettes du défi lancé à Juliette et ne rien rater, inscris-toi ici : http://rebeccamonnery.com/