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Découverte du peuple Oaron

Cet article fait parti d’une série d’articles en lien avec mon nouveau roman Gecko

Le roman est disponible en versions numérique et brochée sur Amazon. 

Ils sont les oarons. Les cavaliers des cinq mondes.

Lieu de vie :

– les terres sauvages au nord de la Cité.

Un espace presque désertique, des steppes de plus en plus souvent brûlées par les étincelles qui jaillissent de la frontière de flammes.

– un village fait de petites cabanes de bois.

Chaque famille possède sa propre maison qu’elle agrandit au besoin.

Démographie :

– un tout petit peuple

Les Oarons ne sont qu’une centaine, limités dans leur désir d’expansion par la taille de leur territoire et les a priori des peuples voisins qui ne désirent pas voir davantage d’enfants envahir leur monde.

– un peuple de mortels

Au contraire d’autres peuples, les Oarons ne sont pas immortels. Ils subissent donc la loi du temps et de la maladie.

Coutumes :

– les courses de chevaux organisées à intervalles réguliers et à l’occasion desquelles le peuple s’assemble pour partager rire, jeux et repas.

– la vie communautaire en famille avec le regroupement de plusieurs générations sous le même toit.

– l’apprentissage dès le plus jeune âge d’un panel varié de compétences à la fois physiques, intellectuelles et techniques.

Caractère :

persévérants

Les Oarons ne se découragent pas facilement

secrets

Les Oarons ont la culture du secret. Ils ne partagent que très peu leurs émotions les uns avec les autres, cherchent seuls les réponses aux questions qu’ils se posent, ne se mêlent pas aux autres peuples.

généreux

Si les Oarons restent entre eux, cela ne les empêche pas d’avoir un réel souci des autres. Ils travaillent plus dur que tous pour la survie de leur monde et montrent avec pudeur leur amour et leur compassion.

Métier :

éleveurs

Les Oarons élèvent plusieurs sortes d’animaux : volailles, cochons, moutons, vaches. Ils fournissent en viande, lait, fromages la table des plus riches habitants de la Cité.

cultivateurs

Les Oarons s’acharnent à cultiver leur terre. Ils en tirent de maigres récoltes qu’ils partagent avec le reste des cinq mondes.

Passion :

Les chevaux.

On dit que jadis, ils en possédaient une dizaine de races différentes. Certains taillés pour la vitesse qui s’affrontaient lors des grandes fêtes. D’autres pour le trait qui menaient les charrettes remplies de victuailles ou les familles en déplacement. D’autres encore pour la monte, répondant aux besoins des cavaliers de sillonner les terres pour le seul plaisir.

Aujourd’hui, les Oarons n’élèvent plus qu’un petit troupeau. Une trentaine de bêtes robustes, les survivants qui ont su s’adapter à la rudesse des conditions de vie. Aux tempêtes. À la rareté de l’herbe.

Au cours de son périple, Lou ne fera qu’un bref passage chez les Oarons. Elle ne verra de leur village que l’immense grange qui abrite l’équipement des chevaux.

Mais Lou côtoie tout au long de l’aventure Alizé, issu de ce peuple. C’est au travers de son amie qu’elle apprendra à connaître un peu les valeurs fondamentales qui portent les Oarons : la fidélité, l’abnégation, la générosité.

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